Les 100 bornes du Fenouillèdes
 
21 aout 2010
 
 
Nous nous installons au camping de Sournia, au fur et à mesure :
d'abord Jean-Yves, puis Barbara et Marc, ensuite Olivier, plus tard Philippe puis Agnès et Brice.
Marc², Bernard et Benoît nous rejoindront le samedi matin pour la randonnée.
 
 
 
 
'tit apéro pendant la grillade, juste après la dégustation organisée au camping
 
 
 
 
Brice se bat tardivement une fois de plus et avec application pour monter sa tente
 
 
 
 
C'est bon, on peut commencer à discuter sérieusement
 
 
 
 
Après une nuit émaillée de maux de tête dus à l'altitude, les préparatifs pour le départ
 
 
 
 

 
La suite par Olivier ... alias Macgagyver
 
Sans monter sur le bûcher, les 10 participants ont eu chaud à plus d'un titre.

10h30, la seule et unique pause bistrot de la journée.
Nous avons failli périr déshydratés.
Heureusement, les sacoches n'étaient pas vides et les fontaines ont été sollicitées à maintes reprises.
 
 
 
On pourra classer cette rando avec celle du Lauragais dans la rubrique des "un peu cons".
Mais nous ne nous sommes pas dégonflés "virgule !"
 
 
 
 
les cascades ayant été réalisées par les acteurs eux-mêmes.
Vaudou a pris une bonne biture, nous aussi, même pas.
 
 
 
 
Comme d'hab', des paysages à couper le souffle dont on ne se lasse pas.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Pause chez l'erMite de Galamus avant de faire un retour à l'âge de fer voire l'âge de pierre.
Réfection avec les moyens du bord de la cahine du 3800 de Brice,
rompue d'un vaillant coup de pédale dans la montée.
 
Belle capucette au passage pour Brice.
La poignée de frein pourra servir de déco dans le sapin de Noël.
 
 
 
 
La chaleur écrasante ne nous a pas aidés.
36 à 38°C à l'ombre et lors des passages sur les versants exposés plein sud,
c'était un sirocco à 50° qui ventilait les ailettes.
 
Les hommes et les mécaniques ont souffert vous vous en doutez.
 
En début d'après-midi, alors que nous montions tranquillement vers Lesquerde,
deuxième cascade de la journée.
Ce n'est pas le bitume qui fondait, mais les toiles du pneu arrière de la BG d'Olivier qui ont lâché pendant l'appui en courbe.
Pamm ! La roue arrière se dérobe, contre-braquage et bada-boum.
 
 
 
 
Par chance, il se relève sans mal, les expériences de sa jeunesse jouant en sa faveur.
Le temps de retrouver ses esprits, il faut réparer coûte que coûte, la rando n'étant qu'à mi parcours.
 
 
 
 
On panse le pneu et la vis de fixation du moteur pour ne pas la perdre. (Vive le chatterton, hein, Marc !)
 
La bourre avec le Vap dans la descente depuis les gorges a eu raison de l'écrou.
Bon, il faut reconnaître que le Vap, bien que véloce, ne tient pas la distance avec la BG.
( et si le pneu avait lâché à ce moment là ???)

10 km plus loin, le pansement extérieur se fait la malle,
la BG roule encore grâce aux renforts intérieurs.
Bon, Bernard ne m'avait jamais vu être aussi prudent au guidon.
Je roule sur des œufs.
Olivier
 
 
 
 
Entre-deux, c'est le Séguier qui fait des siennes.
Prêté à mon ami Benoit nouveau GaGa du jour.
 
le câble de bougie avait littéralement fondu. La chaleur ? Non, pas directement.
Le condo, patte de fixation coupée, se baLadait et ne remplissait plus sa fonction.
L'arc amorçait où il pouvait, à l'extrémité du fil à la jonction de l'anneau.
Joli dessoudurage du fil.
Réparation sur le bord de la chaussée toujours par une chaleur de plomb
sous les yeux médusés de GaGagnès et Brice pendant que les autres
se rafraichissent à la fontaine du village.
 
Merci pour leur patience.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Pris par le temps et vu les circonstances, nous nous sommes résolus à couper
par le "centre du Fenouillèdes".
 
80 km au compteur tout de même
 
 
 
 
 
 
 
 
 
L'éclatement final est venu à bout de la BG 6 km avant Sournia,
la cahine du 3800 ayant rejoint la sacoche un peu plus bas.

Benoit me cède le Séguier pour aller chercher la voiture au camping et se taper une nouvelle bourre avec Marc et son VVap.
 
Bourre qui ne dure pas longtemps, les cyclos n'ont plus de pêche et finissent pas caler tellement il fait chaud.
 
Globalement, nous nous en sommes bien sortis.
L'état des lieux aurait pu être bien pire.
 
 
Commentaire, résumé, photos
 
Olivier à chaud ...
 
(Bien aidé par ses 9 acolytes ...)
 
 
 
Mérite bien son surnom .... l'Olivier ....
 
 
 
 
 
Le Fenouillèdes, vous n'y étiez pas ?
Ne venez pas vous plaindre
 
 
quelques irréductibles ont récidivé le dimanche…
et imaginé dans leurs délires les plus fous de remettre ça dans le même secteur
Chuuuuuuuuuuuuuuuuuutttt
 
l'équipe allégée du dimanche devant le Canigou
depuis la table d'orientation de Trévillach
 

 
A tous à la prochaine !!
 
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